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11.5.09

LO ENCONTRÉ!!!!!!!!!!!!

Hace mucho que estoy empecinada con hacer árbol genealógico general de las monarquías europeas en las que todos se casaban con todos por las tierras...que se me mezclan los Felipes, los Carlos, los Luises, los Enriques, los Franciscos, las Anas, las Margaritas, las Isabeles...etc...bueno...el caso es que nunca me da el tiempo para ponerme con enciclopedia en mano (o wikipedia en el peor de los casos)...y hoy así como así encontré por lo menos el DE LA MONARQUÍA ESPAÑOLA .... ahora...a aprendérselo!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

17.12.08

Las Medici à la française

Preparándome para Paris….la escacez de tiempo me ha llevado a leer la historia de Francia en 10 páginas de la Lonely Planet (no me maten no me maten no me maten!!!!!) y descubro (-muy a mi pesar, que soy una ignoranteeeeeeeeeeeeeeeeeee-al margen) que la cultura francesa le debe mucho a unas señoras italiana (según la historia ampliamente conocida, descendientes del gran LORENZO IL MAGNIFICO)…CATALINA DE MEDICI (1519-1589) y MARIA DE MEDICI (1573-1642)…qué viva Italia!!!! Dondequiera que vayas….un aporte fundamental a la cultura…ya sea desde el arte, desde la comida, desde la mafia…desde donde sea…estamos en todos lados!!! Somos como una peste…pero una peste necesaria señoras y señores.Pues bien….ahora mismo me propongo profundizar en ello….y comparto lo que más llama la atención de mis ojos e intelecto…(a grandes rasgos...por supuesto...luego...a profundizar...)

Caterina de Medici - Née le 13 avril 1519 à Florence. À la mort de ses parents, elle hérite des titres de comtesse d'Auvergne et de duchesse d'Urbino. Par son mariage avec le futur Henri II, elle devient Dauphine et duchesse de Bretagne de 1536 à 1547, puis Reine de France de 1547 à 1559. Mère des rois François II, Charles IX, Henri III, des reines Élisabeth (reine d'Espagne) et Marguerite (la reine Margot). Aujourd'hui, la tendance historiographique tend à la réhabiliter, voire à reconnaître en elle une des plus grandes reines de France. Néanmoins, son rôle dans le massacre de la Saint-Barthélemy contribue à en faire une figure controversée. Héritière des goût des Médicis pour les arts, Catherine de Médicis est considérée comme l'une des plus grands mécènes du XVIe siècle français. La cour de Catherine de Médicis est une succession de fêtes, de bals et de jeux. En février-mars 1564, la reine-mère organise dans le parc du château de Fontainebleau les plus somptueuses fêtes que le royaume ait jamais connues. Elle aimait s'entourer d'artistes, de poètes, d'hommes de lettres et de musiciens qu'elle faisait venir à la cour et pensionnait à son propre service, ce qu'aucune reine de France n'avait fait jusqu'à alors. Sa politique de mise en scène de la monarchie se doublait d'une véritable passion pour les arts. Elle s'intéressait aussi bien à l'orfèvrerie et à la musique qu'à la peinture et l'architecture. Elle portait également un intérêt particulier pour le portrait français et multipliait le nombre de portraitistes à son service.À sa mort, sa collection de portraits comprenait entre 600 et 700 dessins, aujourd'hui éparpillés dans le monde. Elle portait un soin à privilégier les artistes français, au lieu de faire appel à des artistes italiens comme il était d'usage chez les rois de France depuis le début de la Renaissance. Elle utilisait la beauté des arts et des fêtes pour faire oublier la guerre aux hommes et n'hésitait pas à s'entourer d'un « escadron volant » - des jeunes femmes séduisantes - pour apaiser leur caractère belliqueux. Des ballets et des spectacles mythologiques mettent en scène la politique de tolérance de la reine ainsi que la gloire de la France et de la maison royale. Partout où la cour passe, Catherine de Médicis entend faire oublier les destructions de la guerre et les dissensions religieuses. Le but de Catherine est de montrer le roi à son peuple et d'imposer ses édits de paix. Catherine entreprend aussi à cette époque des constructions et des transformations architecturales : elle fait édifier non loin du Louvre le palais des Tuileries par Philibert Delorme et fait agrandir le château de Chenonceaux. Son plus grand chantier est celui du somptueux mausolée des Valois à Saint-Denis, construit à l'antique sous forme d'une rotonde qui tranchait radicalement avec le style moyen-âgeux de la basilique. Si elle encourageait les festivités et laissait la mode suivre son cours, la reine-mère s'est toujours montrée rigoureuse sur la moralité de sa cour et surveillait la vertu de ses filles d'honneurs. Excellente cavalière, on lui attribue parfois l'importation en France de la manière de monter en amazone. Elle a imposé le corset et le caleçon lors des promenades à cheval aux dames de sa cour.

Maria de Medici - Née le 26avril 1575 à Florende. Reine de France de 1600 à 1610, reine-mère jusqu'à sa mort en 1642. Le mariage de Henri IV avec Marie de Médicis répondait avant tout pour le roi de France à des préoccupations dynastiques et financières. En effet, les Médicis, banquiers créanciers du roi de France, promettent une dot d'un montant total de 600 000 écus d'or, ce qui donna à la reine le surnom de « la grosse banquière ». Elle est mère de Louis XIII, roi de France - Élisabeth, reine d'Espagne - Nicolas, le « prince sans nom » (1607-1611) - Gaston, duc d'Orléans - Henriette, reine d'Angleterre. Lorsque Henri IV meurt le 14 mai 1610, Marie de Médicis assure la régence au nom de son fils, Louis XIII, âgé de seulement 9 ans, beaucoup trop jeune pour régner par lui-même. Cependant…le 22 février 1619, la reine s'échappe de sa prison et provoque un soulèvement contre le roi son fils ("guerre de la mère et du fils"). Un premier traité, le traité d'Angoulême, négocié par Richelieu, apaise le conflit. Mais la reine-mère n'étant pas satisfaite, relance la guerre en ralliant à sa cause les Grands du royaume ("deuxième guerre de la mère et du fils"). Conscient qu'il ne peut éviter la formation de complots tant que Marie de Médicis reste en exil, le roi accepte son retour à la cour. Elle revint alors à Paris, où elle s'attache à la construction de son Palais du Luxembourg. À la mort de Charles d'Albert, duc de Luynes en 1622, elle effectue peu à peu son retour politique. Richelieu joua un rôle important dans sa réconciliation avec le roi. Marie de Médicis continue à fréquenter le Conseil du roi en suivant les conseils de Richelieu qu'elle a introduit auprès du roi comme ministre. Au fil des ans, elle ne s'aperçoit pas de la puissance montante de son protégé et client. Quand elle en prend conscience, elle rompt avec le cardinal et cherche par tous les moyens à l'évincer. Ne comprenant toujours pas la personnalité du roi son fils et croyant encore qu'il lui sera facile de lui exiger la disgrâce de Richelieu, elle tente d'obtenir le renvoi du ministre. Après la fameuse Journée des Dupes (Le terme de journée des dupes désigne en fait les évènements des dimanche 10 et lundi 11 novembre 1630 au cours desquelles journées le roi de France Louis XIII, contre toute attente, réitère sa confiance à son ministre Richelieu, élimine ses adversaires politiques et contraint la reine-mère à l'exil). Richelieu reste le principal ministre et Marie de Médicis est contrainte de se réconcilier avec lui. Elle joue un rôle de mécène très important dans la vie parisienne en commandant de nombreuses peintures, notamment à Guido Reni et surtout à Rubens qu'elle fait venir d'Anvers pour l'exécution d'une galerie de peintures consacrée à sa vie. Pendant plusieurs années, elle voyage auprès des cours européennes, en Angleterre puis en Allemagne, sans jamais pouvoir rentrer en France. Réfugiée dans la maison de Pierre-Paul Rubens à Cologne, elle meurt le 3 juillet 1642, de la gangrène. Quelques mois avant Richelieu. Son corps est ramené à Saint-Denis, sans grande cérémonie.

12.12.08

Les Notre Dames du Gotique pas à Paris...

Notre Dame de Chartres Notre Dame de Reims (des couronnement des rois) Notre Dame d'Amiens

10.12.08

La puta hipocresía

Muchas veces me he sentado a reflexionar sobre este "anti-valor"...pero la mayoría de esas veces fue a partir de un libro o un film de historias relacionadas con la nobleza, la realeza...las altas esferas...y me digo a mí misma: evidentemente mi certeza de que he sido princesa en vidas anteriores, debe de ser sólo un sueño...porque dudo que mi alma inquieta haya podido soportar tales situaciones de hipocrecía sólo por razones que, por lo menos en mi, hoy, considero profundamente estúpidas En fin....he visto "The Duchess"...está claro que decidí verla por el hecho de que "the Duchess of Devonshire" fue una importante diseñadora y consumista de moda ...tal es así que la peli es una panzada de Costume Design. Pero, si el equipo de producción se ha mantenido fiel a la historia real (como explicitan al principio), qué vida de mierda la pobre!!! prefiero renunciar a tan bellos vestidos...a tener que vivir dándole hijos a un inglés hijo de puta que, paralelamente vive con otra mujer, y complacer las ambiciones (políticas en este caso, de otra índole tal vez en otros casos) de mi propia famila...sin poder ser fiel a mis convicciones. Entonces me pregunto una vez más....por qué el mundo fue, es y será tan habitado por seres tan enfermos y confundidos? Intransigente con los anti-valores? Ahora me dedicaré a investigar sobre ella...la Georgiana Cavendish de carne y hueso...que, por cierto...es del linaje de Lady Di (y así es como también comparten miserias).
Finalmente, puedo asegurar que, no importa el tiempo histórico...no creo que quiera ser princesa o nada que se le parezca...prefiero ser una mujer libre y feliz sin sentirme obligada a otra cosa que no sea ser yo misma.

9.12.08

Danae

Danae...te dedico esta entrada porque tus comentarios me llenan de honor...y tus entradas me llenan de ganas de aprender...y de amor por el arte. Mi humilde aporte no creo que para ti lo sea tal, dada la segunda entrada de tu blog...pero con éste, te invito a que hagas un nuevo post en tu propio honor, desde la profesionalidad que te caracteriza, no sólo con una de las 2 de Tiziano , sino con todas estas... Cerámica griega
Jan Gossaert (1478-1532)
Tiziano (1476-1576)
Tintoretto (1518-1594) Antonio Allegri da Correggio (1489-1534)
Orazio Gentileschi (1563-1639)
Artemisia Gentileschi (1597-1654)
Hendrick Goltzius (1558-1617)
Rembrandt van Rijn (1606-1669)
François Boucher (1703-1770)
Anne-Louis Girodet Roussy-Trioson (1767-1824)
Henri Fantin-Latour (1836-1904)
Gustav Klimt (1862-1918)
Aquí info precisa de todos modos...esperamos ansiosos tu entrada magristral querida Danae!!!

28.11.08

Rembrandt y Sansón

En una visita a Timna, la población de la mujer que le gusta (filistea), Sansón da la primera evidencia de su fuerza sobrehumana, matando un león sin otras armas que sus manos. Volviendo de nuevo vio que un enjambre de abejas se había instalado en el esqueleto del león. Comió de la miel y, con motivo del incidente, propuso la famosa adivinanza a los treinta invitados palestinos a las fiestas de boda: "Del que come salió alimento y del fuerte la dulzura."

Ante su incapacidad para encontrar la respuesta en el plazo de los siete días de la fiesta, los invitados inducen a la mujer de Sansón a que le persuada de que se la revele a ella, y que tan pronto como la haya conseguido se la comunique a ellos. Sansón, sin embargo, en orden a proveer los treinta vestidos prometidos en la apuesta, baja a Ascalón en "el espíritu del Señor" y mata treinta filisteos, cuyos vestidos da a los invitados, que han dado la respuesta a la adivinanza. Encolerizado, vuelve a casa de su padre, y su prometida escoge uno de sus compañeros de boda como marido. Vuelve más tarde a reclamarla y es informado por su padre de que ha sido dada a uno de los compañeros de la boda, pero que en su lugar puede tomar a su hermana más joven, que es más hermosa. Sansón declina la oferta y, apresando trescientos zorros, los empareja cola con cola, y atando antorchas entre las colas, los suelta para incendiar las mieses de los filisteos, que son así destruidas junto con sus viñedos y olivares. Los filisteos se vengan quemando a su mujer y al padre de ésta, y entonces Sansón hace una "gran carnicería con ellos" y luego se retira a morar en la caverna de Etam, en la tribu de Judá. Tres mil filisteos lo persiguen y establecen sus campamentos en Leji. La gente de Judá, alarmada, culpa a Sansón de la invasión y lo entrega atado al enemigo. Pero entonces el espíritu del Señor viene sobre él; quema sus ataduras y mata mil filisteos con la quijada de un asno. Muerto de sed después de esta hazaña, revive por una fuente de agua que el Señor hace fluir de la quijada. Más tarde, mientras Sansón está con una prostituta en Gaza, los filisteos se concentran junto a la puerta de la ciudad para apresarlo por la mañana, pero él, levantándose a medianoche, toma la puerta, con las jambas, y la lleva a la cima de una montaña en dirección a Hebrón. Posteriormente se enamora de una mujer llamada Dalila, del valle de Sorec, la cual es sobornada por los filisteos para que lo entregue en sus manos. Después de engañarla tres veces acerca de la fuente de su fuerza, finalmente se rinde a sus ruegos y confiesa que su poder se debe al hecho de que su cabeza nunca ha sido rapada. La amante pérfidamente rapa sus cabellos y cae indefenso en manos de los filisteos, que le sacan los ojos y lo encierran en prisión.
Más tarde, después de que sus cabellos han crecido de nuevo, lo sacan fuera con ocasión de la fiesta del dios Dagón, y así exhibirlo para diversión de la gente. Los espectadores, entre los cuales se encuentran los príncipes de los filisteos, en número mayor de tres mil, se congregan en un gran edificio que principalmente es sostenido por dos pilares. Éstos son alcanzados por el héroe, cuya fuerza ha retornado; los derriba, haciendo que el edificio se derrumbe, y muere él junto con todos los filisteos.

17.11.08

Diótima de Mantinea...modelo a seguir!!!!

La sadiburía inconmensurable de Danaerain es una fuente sin fondo para saciar mi sed de conocimiento verdadero....hoy aprendí sobre Diótima de Mantinea, la sacerdotiza que primero planteó el concepto del so called "Amor Platónico" (ese que yo tanto cito en mi vida...casualmente)...y se lo transmitió a su primer discípulo, ni más ni menos que Sócrates... "Préstame ahora, Sócrates, toda la atención de que eres capaz. El que en los misterios del amor se haya elevado hasta el punto en que estamos, después de haber recorrido en orden conveniente todos los grados de lo bello y llegado, por último, al término de la iniciación, percibirá como un relámpago una belleza maravillosa, aquella ¡oh Sócrates!, que era objeto de todos sus trabajos anteriores; belleza eterna, increada e imperecible, exenta de aumento y de disminución; belleza que no es bella en tal parte y fea en cual otra, bella sólo en tal tiempo y no en tal otro, bella bajo una relación y fea bajo otra, bella en tal lugar y fea en cual otro, bella para estos y fea para aquellos; belleza que no tiene nada de sensible como el semblante o las manos, ni nada de corporal; que tampoco es este discurso o esta ciencia; que no reside en ningún ser diferente de ella misma, en un animal, por ejemplo, o en la tierra, o en el cielo, o en otra cosa, sino que existe eterna y absolutamente por sí misma y en sí misma; de ella participan todas las demás bellezas, sin que el nacimiento ni la destrucción de estas cansen, ni la menor disminución ni el menor aumento en aquellas ni la modifiquen en nada.Cuando de las bellezas inferiores se ha elevado, mediante un amor bien entendido de los jóvenes, hasta la belleza perfecta, y se comienza a entreverla, se llega casi al término; porque el camino recto del amor, ya se guíe por sí mismo, ya sea guiado por otro, es comenzar por las bellezas inferiores y elevarse hasta la belleza suprema, pasando, por decirlo así, por todos los grados de la escala de un solo cuerpo bello a dos, de dos a todos los demás, de los bellos cuerpos a las bellas ocupaciones, de las bellas ocupaciones a las bellas ciencias, hasta que de ciencia en ciencia se llega a la ciencia por excelencia, que no es otra que la ciencia de lo bello mismo, y se concluye por conocerla tal como es en sí." ...SI....I MUST READ "Banquete" de Platón.