17.12.08

Las Medici à la française

Preparándome para Paris….la escacez de tiempo me ha llevado a leer la historia de Francia en 10 páginas de la Lonely Planet (no me maten no me maten no me maten!!!!!) y descubro (-muy a mi pesar, que soy una ignoranteeeeeeeeeeeeeeeeeee-al margen) que la cultura francesa le debe mucho a unas señoras italiana (según la historia ampliamente conocida, descendientes del gran LORENZO IL MAGNIFICO)…CATALINA DE MEDICI (1519-1589) y MARIA DE MEDICI (1573-1642)…qué viva Italia!!!! Dondequiera que vayas….un aporte fundamental a la cultura…ya sea desde el arte, desde la comida, desde la mafia…desde donde sea…estamos en todos lados!!! Somos como una peste…pero una peste necesaria señoras y señores.Pues bien….ahora mismo me propongo profundizar en ello….y comparto lo que más llama la atención de mis ojos e intelecto…(a grandes rasgos...por supuesto...luego...a profundizar...)

Caterina de Medici - Née le 13 avril 1519 à Florence. À la mort de ses parents, elle hérite des titres de comtesse d'Auvergne et de duchesse d'Urbino. Par son mariage avec le futur Henri II, elle devient Dauphine et duchesse de Bretagne de 1536 à 1547, puis Reine de France de 1547 à 1559. Mère des rois François II, Charles IX, Henri III, des reines Élisabeth (reine d'Espagne) et Marguerite (la reine Margot). Aujourd'hui, la tendance historiographique tend à la réhabiliter, voire à reconnaître en elle une des plus grandes reines de France. Néanmoins, son rôle dans le massacre de la Saint-Barthélemy contribue à en faire une figure controversée. Héritière des goût des Médicis pour les arts, Catherine de Médicis est considérée comme l'une des plus grands mécènes du XVIe siècle français. La cour de Catherine de Médicis est une succession de fêtes, de bals et de jeux. En février-mars 1564, la reine-mère organise dans le parc du château de Fontainebleau les plus somptueuses fêtes que le royaume ait jamais connues. Elle aimait s'entourer d'artistes, de poètes, d'hommes de lettres et de musiciens qu'elle faisait venir à la cour et pensionnait à son propre service, ce qu'aucune reine de France n'avait fait jusqu'à alors. Sa politique de mise en scène de la monarchie se doublait d'une véritable passion pour les arts. Elle s'intéressait aussi bien à l'orfèvrerie et à la musique qu'à la peinture et l'architecture. Elle portait également un intérêt particulier pour le portrait français et multipliait le nombre de portraitistes à son service.À sa mort, sa collection de portraits comprenait entre 600 et 700 dessins, aujourd'hui éparpillés dans le monde. Elle portait un soin à privilégier les artistes français, au lieu de faire appel à des artistes italiens comme il était d'usage chez les rois de France depuis le début de la Renaissance. Elle utilisait la beauté des arts et des fêtes pour faire oublier la guerre aux hommes et n'hésitait pas à s'entourer d'un « escadron volant » - des jeunes femmes séduisantes - pour apaiser leur caractère belliqueux. Des ballets et des spectacles mythologiques mettent en scène la politique de tolérance de la reine ainsi que la gloire de la France et de la maison royale. Partout où la cour passe, Catherine de Médicis entend faire oublier les destructions de la guerre et les dissensions religieuses. Le but de Catherine est de montrer le roi à son peuple et d'imposer ses édits de paix. Catherine entreprend aussi à cette époque des constructions et des transformations architecturales : elle fait édifier non loin du Louvre le palais des Tuileries par Philibert Delorme et fait agrandir le château de Chenonceaux. Son plus grand chantier est celui du somptueux mausolée des Valois à Saint-Denis, construit à l'antique sous forme d'une rotonde qui tranchait radicalement avec le style moyen-âgeux de la basilique. Si elle encourageait les festivités et laissait la mode suivre son cours, la reine-mère s'est toujours montrée rigoureuse sur la moralité de sa cour et surveillait la vertu de ses filles d'honneurs. Excellente cavalière, on lui attribue parfois l'importation en France de la manière de monter en amazone. Elle a imposé le corset et le caleçon lors des promenades à cheval aux dames de sa cour.

Maria de Medici - Née le 26avril 1575 à Florende. Reine de France de 1600 à 1610, reine-mère jusqu'à sa mort en 1642. Le mariage de Henri IV avec Marie de Médicis répondait avant tout pour le roi de France à des préoccupations dynastiques et financières. En effet, les Médicis, banquiers créanciers du roi de France, promettent une dot d'un montant total de 600 000 écus d'or, ce qui donna à la reine le surnom de « la grosse banquière ». Elle est mère de Louis XIII, roi de France - Élisabeth, reine d'Espagne - Nicolas, le « prince sans nom » (1607-1611) - Gaston, duc d'Orléans - Henriette, reine d'Angleterre. Lorsque Henri IV meurt le 14 mai 1610, Marie de Médicis assure la régence au nom de son fils, Louis XIII, âgé de seulement 9 ans, beaucoup trop jeune pour régner par lui-même. Cependant…le 22 février 1619, la reine s'échappe de sa prison et provoque un soulèvement contre le roi son fils ("guerre de la mère et du fils"). Un premier traité, le traité d'Angoulême, négocié par Richelieu, apaise le conflit. Mais la reine-mère n'étant pas satisfaite, relance la guerre en ralliant à sa cause les Grands du royaume ("deuxième guerre de la mère et du fils"). Conscient qu'il ne peut éviter la formation de complots tant que Marie de Médicis reste en exil, le roi accepte son retour à la cour. Elle revint alors à Paris, où elle s'attache à la construction de son Palais du Luxembourg. À la mort de Charles d'Albert, duc de Luynes en 1622, elle effectue peu à peu son retour politique. Richelieu joua un rôle important dans sa réconciliation avec le roi. Marie de Médicis continue à fréquenter le Conseil du roi en suivant les conseils de Richelieu qu'elle a introduit auprès du roi comme ministre. Au fil des ans, elle ne s'aperçoit pas de la puissance montante de son protégé et client. Quand elle en prend conscience, elle rompt avec le cardinal et cherche par tous les moyens à l'évincer. Ne comprenant toujours pas la personnalité du roi son fils et croyant encore qu'il lui sera facile de lui exiger la disgrâce de Richelieu, elle tente d'obtenir le renvoi du ministre. Après la fameuse Journée des Dupes (Le terme de journée des dupes désigne en fait les évènements des dimanche 10 et lundi 11 novembre 1630 au cours desquelles journées le roi de France Louis XIII, contre toute attente, réitère sa confiance à son ministre Richelieu, élimine ses adversaires politiques et contraint la reine-mère à l'exil). Richelieu reste le principal ministre et Marie de Médicis est contrainte de se réconcilier avec lui. Elle joue un rôle de mécène très important dans la vie parisienne en commandant de nombreuses peintures, notamment à Guido Reni et surtout à Rubens qu'elle fait venir d'Anvers pour l'exécution d'une galerie de peintures consacrée à sa vie. Pendant plusieurs années, elle voyage auprès des cours européennes, en Angleterre puis en Allemagne, sans jamais pouvoir rentrer en France. Réfugiée dans la maison de Pierre-Paul Rubens à Cologne, elle meurt le 3 juillet 1642, de la gangrène. Quelques mois avant Richelieu. Son corps est ramené à Saint-Denis, sans grande cérémonie.

1 comentario:

La pequeña Lo dijo...

Me han entrado ganas de aprender francés de nuevo :(