30.12.08
Tendré genes japoneses???
29.12.08
"Filosofía barata y zapatos de goma"
Admitida al Teatro Real de Madrid!!!
Ritorna Vincitor!!!
Oh la la...Resumen: IN-TEN-SO
19.12.08
18.12.08
Por qué me las confundo???
"La Liberté guidant le peuple" - Eugène Delacroix
Hay una estructura en forma de pirámide con los muertos por la libertad en la base y la libertad en la cima sosteniendo en la mano derecha la bandera tricolor y en la mano izquierda un rifle...
Esta obra recoge los hechos revolucionarios ocurridos en las barricadas de París en 1830. Aquí aparecen representados un grupo de obreros, artesanos y burgueses, heroizando un hecho contemporáneo en el que aparecen representadas las diferentes clases sociales. Esta obra hereda de Géricault los cadáveres, no heroicos, vulgares, que aparecen en primer término. El fondo tiene un carácter abocetado, uniéndose el humo de la pólvora a la atmósfera. . El espectador sólo tiene dos posibilidades, el unirse a la masa, o el ser arrasado por ella . El pueblo es la unión de clases: se representa al burgués con su sombrero de copa y empuñando el fusil, al lado un andrajoso y un herido que pide clemencia a Francia. Al fondo aparecen brumas y humos de la batalla que diluyen un barrio francés bastante realista. A los pies de la Libertad un moribundo la mira fijamente indicandonos que ha valido la pena morir por ella.
17.12.08
Las Medici à la française
Caterina de Medici - Née le 13 avril 1519 à Florence. À la mort de ses parents, elle hérite des titres de comtesse d'Auvergne et de duchesse d'Urbino. Par son mariage avec le futur Henri II, elle devient Dauphine et duchesse de Bretagne de 1536 à 1547, puis Reine de France de 1547 à 1559. Mère des rois François II, Charles IX, Henri III, des reines Élisabeth (reine d'Espagne) et Marguerite (la reine Margot). Aujourd'hui, la tendance historiographique tend à la réhabiliter, voire à reconnaître en elle une des plus grandes reines de France. Néanmoins, son rôle dans le massacre de la Saint-Barthélemy contribue à en faire une figure controversée. Héritière des goût des Médicis pour les arts, Catherine de Médicis est considérée comme l'une des plus grands mécènes du XVIe siècle français. La cour de Catherine de Médicis est une succession de fêtes, de bals et de jeux. En février-mars 1564, la reine-mère organise dans le parc du château de Fontainebleau les plus somptueuses fêtes que le royaume ait jamais connues. Elle aimait s'entourer d'artistes, de poètes, d'hommes de lettres et de musiciens qu'elle faisait venir à la cour et pensionnait à son propre service, ce qu'aucune reine de France n'avait fait jusqu'à alors. Sa politique de mise en scène de la monarchie se doublait d'une véritable passion pour les arts. Elle s'intéressait aussi bien à l'orfèvrerie et à la musique qu'à la peinture et l'architecture. Elle portait également un intérêt particulier pour le portrait français et multipliait le nombre de portraitistes à son service.À sa mort, sa collection de portraits comprenait entre 600 et 700 dessins, aujourd'hui éparpillés dans le monde. Elle portait un soin à privilégier les artistes français, au lieu de faire appel à des artistes italiens comme il était d'usage chez les rois de France depuis le début de la Renaissance. Elle utilisait la beauté des arts et des fêtes pour faire oublier la guerre aux hommes et n'hésitait pas à s'entourer d'un « escadron volant » - des jeunes femmes séduisantes - pour apaiser leur caractère belliqueux. Des ballets et des spectacles mythologiques mettent en scène la politique de tolérance de la reine ainsi que la gloire de la France et de la maison royale. Partout où la cour passe, Catherine de Médicis entend faire oublier les destructions de la guerre et les dissensions religieuses. Le but de Catherine est de montrer le roi à son peuple et d'imposer ses édits de paix. Catherine entreprend aussi à cette époque des constructions et des transformations architecturales : elle fait édifier non loin du Louvre le palais des Tuileries par Philibert Delorme et fait agrandir le château de Chenonceaux. Son plus grand chantier est celui du somptueux mausolée des Valois à Saint-Denis, construit à l'antique sous forme d'une rotonde qui tranchait radicalement avec le style moyen-âgeux de la basilique. Si elle encourageait les festivités et laissait la mode suivre son cours, la reine-mère s'est toujours montrée rigoureuse sur la moralité de sa cour et surveillait la vertu de ses filles d'honneurs. Excellente cavalière, on lui attribue parfois l'importation en France de la manière de monter en amazone. Elle a imposé le corset et le caleçon lors des promenades à cheval aux dames de sa cour.
Maria de Medici - Née le 26avril 1575 à Florende. Reine de France de 1600 à 1610, reine-mère jusqu'à sa mort en 1642. Le mariage de Henri IV avec Marie de Médicis répondait avant tout pour le roi de France à des préoccupations dynastiques et financières. En effet, les Médicis, banquiers créanciers du roi de France, promettent une dot d'un montant total de 600 000 écus d'or, ce qui donna à la reine le surnom de « la grosse banquière ». Elle est mère de Louis XIII, roi de France - Élisabeth, reine d'Espagne - Nicolas, le « prince sans nom » (1607-1611) - Gaston, duc d'Orléans - Henriette, reine d'Angleterre. Lorsque Henri IV meurt le 14 mai 1610, Marie de Médicis assure la régence au nom de son fils, Louis XIII, âgé de seulement 9 ans, beaucoup trop jeune pour régner par lui-même. Cependant…le 22 février 1619, la reine s'échappe de sa prison et provoque un soulèvement contre le roi son fils ("guerre de la mère et du fils"). Un premier traité, le traité d'Angoulême, négocié par Richelieu, apaise le conflit. Mais la reine-mère n'étant pas satisfaite, relance la guerre en ralliant à sa cause les Grands du royaume ("deuxième guerre de la mère et du fils"). Conscient qu'il ne peut éviter la formation de complots tant que Marie de Médicis reste en exil, le roi accepte son retour à la cour. Elle revint alors à Paris, où elle s'attache à la construction de son Palais du Luxembourg. À la mort de Charles d'Albert, duc de Luynes en 1622, elle effectue peu à peu son retour politique. Richelieu joua un rôle important dans sa réconciliation avec le roi. Marie de Médicis continue à fréquenter le Conseil du roi en suivant les conseils de Richelieu qu'elle a introduit auprès du roi comme ministre. Au fil des ans, elle ne s'aperçoit pas de la puissance montante de son protégé et client. Quand elle en prend conscience, elle rompt avec le cardinal et cherche par tous les moyens à l'évincer. Ne comprenant toujours pas la personnalité du roi son fils et croyant encore qu'il lui sera facile de lui exiger la disgrâce de Richelieu, elle tente d'obtenir le renvoi du ministre. Après la fameuse Journée des Dupes (Le terme de journée des dupes désigne en fait les évènements des dimanche 10 et lundi 11 novembre 1630 au cours desquelles journées le roi de France Louis XIII, contre toute attente, réitère sa confiance à son ministre Richelieu, élimine ses adversaires politiques et contraint la reine-mère à l'exil). Richelieu reste le principal ministre et Marie de Médicis est contrainte de se réconcilier avec lui. Elle joue un rôle de mécène très important dans la vie parisienne en commandant de nombreuses peintures, notamment à Guido Reni et surtout à Rubens qu'elle fait venir d'Anvers pour l'exécution d'une galerie de peintures consacrée à sa vie. Pendant plusieurs années, elle voyage auprès des cours européennes, en Angleterre puis en Allemagne, sans jamais pouvoir rentrer en France. Réfugiée dans la maison de Pierre-Paul Rubens à Cologne, elle meurt le 3 juillet 1642, de la gangrène. Quelques mois avant Richelieu. Son corps est ramené à Saint-Denis, sans grande cérémonie.16.12.08
Antibióticos para el alma 1
La envidia es una declaración de inferioridad (Napoleón)
Últimamente la ENVIDIA ha tomado posesión de mi interior y maneja mi vida como quiere…a tal efecto…he estado investigando, a ver si por lo menos desde la razón…puedo controlar mi vida…
He leído: “Nunca concebí cómo el ser humano puede gozar con la desgracia ajena y entristecerse con la felicidad del prójimo”. Y en mi defensa alego: No es que me entristezca con la felicidad ajena…al contrario…sino que siento que yo también me lo merecería…y me viene eso de por qué a mí no? Menos que menos me alegro con el fracaso ajeno…sino, si de trata de algún fracaso simple, no a niveles importantes, suelo pensar/sentir que al final sale a la luz que a la gente no le salen las cosas tan perfectas como parecían…
He leído: “la envidia es el pecado capital del individuo y la hermana melliza de la hipocresía”. Coincido con que es un pecado capital..pero que atenta contra nosotros mismos. Y respecto a la hipocresía…me confundo porque…por más que soy conciente que soy una persona “enfermamente” envidiosa (yo soy la que más sufro…lo puedo asegurar) no me considero para nada hipócrita…al contrario…entonces…cómo es que una puede ser la hermana de la otra? Alguien me puede explicar???
He leído: “Envidia, por lo tanto, viene a ser la cara oculta de la competitividad y constituye uno de los móviles que, desde la horda primitiva, indujo a los hombres a disputarse el prestigio y el poder, motivados por la idea de triunfar a cualquier precio en el seno de una colectividad donde nadie está conforme con ser menos que el otro”. Y entonces me pregunto…es realmente posible que el mundo “avance” por actitudes envidiosas? O es que vamos todos hacia un callejón sin salida?
He leído “Si partimos del criterio de que la envidia es la desaprobación del injusto éxito ajeno, entonces habría que reconocer que los envidiosos están en lo cierto, pues la mayor parte de los éxitos son inequívocamente injustos en una sociedad meritocrática, donde muchos son los llamados, pero pocos los escogidos, y menos aún los auténticamente merecedores de serlo. Es decir, la envidia no es tanto el termómetro del triunfo público como el barómetro de la injusticia social, que premia a quienes no lo merecen e ignora a los verdaderamente valiosos. Pero si se considera que la envidia es el motor de la ambición personal, como el freno de la ambición ajena, entonces habría que deducir que el envidioso es un ser detestable y peligroso, que busca desprestigiar a su rival para consumar su propia ambición.” Y estas líneas me consuelan en cierta medida…porque realmente hay varios momentos en los que me siento que surge el sentimiento pues el mundo está patas arriba…pero…cuando soy conciente que surge porque estoy enferma de la cabeza…CÓMO ACTUAR????????????????? Ya está casi a nivel inconciente…hasta en los sueños soy envidiosa!!! For God’s sake!!!
Me he hecho un test y ha resultado: “Eres una persona muy envidiosa, celosa e insegura de ti misma. Tu envidia es activa en grado sumo y, en ocasiones, puede resultar agresiva. Sabes que te duele más el bien ajeno que el mal propio y esa actitud puede perjudicarte a ti más que a nadie. A ver si aprendes a disfrutar más de la vida.” Quiero quiero quiero…pero no puedo!!!!
15.12.08
Le voyage du ballon rouge
Comme j'adore cet tipe du films! La musique…la lenteur...les locations tellement françaises qui me plaisent tellement !!!!!...le piano parisien...qui me raconte des histoires d'amour, des histoires dramatiques passionnantes !!! Il s'agit d'un film dirigée par un artiste orientale...peut être c'est pour ça que les temps sont aussi différents...il y en a aussi un autre détail qui complet la perfection de cet oeuvre d'art....c'est elle !!! Juliette (que fait l'improvisation!!!!!) et le petit fils...comme j'adorait avoir un fils tellement tranquille comme lui !!! Quel paix !!!! quel sagesse !!!! impressionnant !!!!Je la regarderait mil fois....entre autres raisons parce que j'ai aimé aussi tellement la décoration de la maison !!!! J’en veux avoir une maison d'artiste comme celle !